carmina burana
CARMINA BURANA A VALENCE
Ces quarante dernières années ont vu naître une vingtaine de versions enregistrées de CARMINA BURANA de CARL ORFF. Certaines compagnies l'ont même gravée un grand nombre de fois de Sawalish en 1956 et à Welslsermost en 1990 en passant par Stokowsky, Ormandy, Jochum, Levine, Clemencie, Osawa et recémment Plasson.
Tous ces grands maîtres de la musique ont souhaité en version live ou en studio graver leur CARMINA BURANA. Il serait trop long et probablement inexact d'en faire l'analyse, tous avaient leurs raisons mais quelques unes de ces raisons sont certainement communes à tout le monde. Les CARMINA BURANA parlent au coeur, aux sens, cette formidable puissance rythmique mise au service d'un texte qui célèbre la joie de vivre, l'amour de la nature, les plaisirs de la table et de la chair, cette discipline quasi métronomique qui scande les excès de la douleur, de la colère et de l'amour, ces harmonies simples et solides qui font des mots une explosion des sens et vous donnent l'envie de vous lever et de chanter avec ceux que l'on écoute ; et soudain cette immense douceur qui éclaire comme un lever de soleil calme et vous empêche presque de respirer tant on voudrait éternelle cette seconde chant.
Les CARMINA BURANA résonnent longtemps comme le rappel d'un enthousiasme qui submerge sans complication, sans frein avec, une force animale mais dans une discipline de soldat de la musique, un contrôle rythmique de fer, une exactitude maniaque de l'articulation.
Les CARMINA BURANA sont par leur histoire des textes paiens exhumés et publiés en 1847 par Johan Andréas Schmeller provenant probablement du monatère de Benedickbeuern au sud de la Bavière. Carl Orff les découvre en 1935 et assisté de Michel Hofmann sélectionne 24 fragments et compose une série de cantates scéniques dont un des plus beaux exemples fut le spectacle mis en scène par Jean Pierre Ponnelle.
Tous ces grands maîtres de la musique ont souhaité en version live ou en studio graver leur CARMINA BURANA. Il serait trop long et probablement inexact d'en faire l'analyse, tous avaient leurs raisons mais quelques unes de ces raisons sont certainement communes à tout le monde. Les CARMINA BURANA parlent au coeur, aux sens, cette formidable puissance rythmique mise au service d'un texte qui célèbre la joie de vivre, l'amour de la nature, les plaisirs de la table et de la chair, cette discipline quasi métronomique qui scande les excès de la douleur, de la colère et de l'amour, ces harmonies simples et solides qui font des mots une explosion des sens et vous donnent l'envie de vous lever et de chanter avec ceux que l'on écoute ; et soudain cette immense douceur qui éclaire comme un lever de soleil calme et vous empêche presque de respirer tant on voudrait éternelle cette seconde chant.
Les CARMINA BURANA résonnent longtemps comme le rappel d'un enthousiasme qui submerge sans complication, sans frein avec, une force animale mais dans une discipline de soldat de la musique, un contrôle rythmique de fer, une exactitude maniaque de l'articulation.
Les CARMINA BURANA sont par leur histoire des textes paiens exhumés et publiés en 1847 par Johan Andréas Schmeller provenant probablement du monatère de Benedickbeuern au sud de la Bavière. Carl Orff les découvre en 1935 et assisté de Michel Hofmann sélectionne 24 fragments et compose une série de cantates scéniques dont un des plus beaux exemples fut le spectacle mis en scène par Jean Pierre Ponnelle.